Libérée par les hommes de la 2 e DB le 23 novembre 1944, la ville de Strasbourg faillit être reprise par les nazis dans les premiers jours de janvier 1945. Son sauvetage in extremis fut alors l’œuvre du général de Lattre et des soldats de la Première Armée. Si l’action des troupes de Leclerc reste largement commémorée, celle de l’armée de De Lattre est rarement évoquée dans les discours. Comment expliquer cette différence ?
Frédérique Neau-Dufour propose une réflexion qui mêle approche historique et lecture mémorielle.